La « singularité humaine »

L’être humain est seul responsable de ses malheurs, que ce soit des problèmes environementaux ou plus philosophiques. Le principe de l’évolution naturelle sur notre planète, à amener l’être humain à développer une conscience de soi ainsi que du reste du monde.

La possibilité qu’a l’humain de se poser la question sur sa propre existence, à poser la question sur l’origine de l’univers lui-même, est la source de tout nos ennuis psychiques et métaphysiques. L’acte de penser est donc à lui seul, le responsable de tout nos malheurs. La conclusion semble triviale, si les dinosaures n’avaient pas disparus, l’humain n’existerait pas, et donc aucune question sur son origine, ou sur l’origine de l’univers, ne serait formulé dans un language quelconque.

La théorie de la relativité, tel que décrite par Einstein, explique que des trous noirs doivent exister dans notre univers, ces trous noirs sont aussi appelés « singularités ». Les trous noirs existent car nos théories rendent leurs présences obligatoires, mais sans autre but que d’appliquer les lois imposées.  Les concepts de physiques actuelles s’écroulent dans les trous noir qui deviennent des anomalies dans la continuité de l’univers. La « conscience » développé par l’être humain, pourrait être du même genre. La théorie de l’évolution des espèces explique que  les animaux doivent développer une « conscience » avec le temps, mais sans aucun autre but que de suivre les chemins imposés par la chimie organique.

L’être humain peut donc être considéré comme une « singularité », un état nécessaire dans l’évolution de la vie, mais avec comme seul but de suivre les lois imposées par la nature. L’être humain est une anomalie obligatoire dictée par les lois physiques et chimiques.

Alan Hope