Lettre ouverte aux femmes d’une communauté religieuse

Mesdames,

Lorsque une communauté religieuse essaye d’imposer leurs rites et croyances dans un pays ou la séparation de l’Etat et la religion est effective depuis des générations et générations, pourquoi ne comprend-t-elle  pas que les citoyens du pays n’acceptent pas leurs coutumes, elle s’étonne d’affronter une résistance des gens qui ne partage pas leurs visions.

Cette communauté doit apprendre qu’elle n’a aucun droit à imposer leurs rituelles dans un pays ou le peuple lui-même à décider de rester libre dans leurs choix religieux, et d’accepter que dans des lieux publique, seul les lois gouvernementales s’appliquent et dans aucun cas les opinions personnelles d’un groupe de personnes ayant une compréhension très limitée des libertés individuelles.

Alors, Mesdames, veuillez rester discret le plus possible dans les lieux publiques (par exemple un endroit ou beaucoup d’eau est disponible pour votre bon plaisir), et laissez les autres personnes vivre leurs vies selon leurs désirs.

Alors, Mesdames, si vous n’êtes pas d’accord d’appliquer ces principes fondamentaux de la vie social dans un pays démocratique et laïc, merci de trouver un lieu privé ou vous pourrez pratiquer vos rites sans déranger les autres citoyens, ou alors retourner dans vos pays d’origines ou votre religion fait la loi.

En espérant que vous réfléchirez à mes propositions.

Je vous souhaite une bonne traversée.

Alan Hope

Le culte du chat et du chien

Une civilisation ancienne vénérait les chats, elle considérait le chat comme un animal divin, le peuple a donc décidé que durant leurs cultes du mercredi, ils allaient dessiner un chat pour honorer leur dieu incarné par ce félin.

Une autre civilisation vénérait les chiens,  le chat est considéré comme un animal maléfique. Leurs cultes interdit toute représentation du chat, mais le chien est vénéré comme un animal divin.

Lors d’un voyage, un citoyen vénérant les chiens, rencontre la première et le choc est terrible, il est scandalisé par la représentation du chat et essaye d’imposer son culte du chien. La première civilisation est interloquée, elle ne comprend pas pourquoi ce voyageur essaye d’imposer sa religion ? Ils pensent que si cela le choc, il doit alors simplement quitter la région, car eux, qui vénèrent le chat, n’ont pas l’intention d’imposer leur religion sur d’autres peuples. Ils pensent que chacun est libre de vénérer ce qu’ils veulent, tant que cela se passe hors de leurs frontières. Si des gens manges des chats dans une autre partie du monde, cela n’as pas d’importance, tant que cela ne se passe pas chez eux ou c’est un blasphème.

Bien sûr, le voyageur ne veux par repartir,  il veut rester car la civilisation qu’il a découvert est beaucoup plus riche que son propre peuple… mais il va alors décider de se battre pour imposer ses croyances…

Le peuple vénérant les chats va se défendre et penser que ce voyageur « est vraiment un con » et qu’il a encore beaucoup à apprendre…

Alan Hope

La plume et le glaive

Trop souvent,  le glaive est plus fort que la plume…

J’ai hâte de vivre le jour ou 3 cons, qui voudraient faire une attaque terroriste pour des raisons stupides, se retrouvent en face de victimes qui étaient préparées et prêtes à se défendre. Toutes les victimes d’actes de terrorisme pourront alors savourer une vengeance méritée…

La plume devrait pouvoir se transformer en glaive lorsque le besoin se fait sentir…

Alan Hope

Héritage

Héritage

Lorsque ma mémoire fait un effort
Pour me souvenir de mes torts
Je vois le visage de mon père
Caché derrière celui de ma mère

Je regrette de l’avoir laissé
Trop facilement s’en aller
Sa présence me guette
Autant que je le souhaite
Même les grandes distances qui nous sépare
Me semble être complètement illusoire
Son souvenir est vivant
Autant qu’il l’ai vraiment.

Ai-je pu le connaitre comme il se doit
J’espère que je n’ai pas été trop froid
Pourtant la chaleur existe bien
Et elle n’est pas si loin.

Lors de mes moments de galères
Je suis content de l’avoir comme père
Il m’a souvent aidé sans qu’il le sache
Avant que je ne coule avec mon arche.

De lui j’ai beaucoup appris
Surtout dans le domaine de l’esprit
Un jour j’espère pouvoir lui rendre
Ce qu’il m’a permis de lui prendre.

Ai-je parlé de l’amour que j’ai pour lui
Sans devoir le lui dire, je sais qu’il a comprit
Nous avons de nombreux points communs
Si seulement il pouvait y en avoir moins.

Je me demande ce que j’ai hérité de lui
Pour que je le mette par écrit.

Je connait son intelligence
Que j’ai transformé en persévérance
Qu’en est-il de son idéalisme
Trop vite rattrapé par mon réalisme
Je pense ensuite à son cynisme
Qui rivalise avec mon pessimisme.

Je le sais, un jour viendra
Ou vraiment, il me manquera
Le plus tard sera le mieux
Même si je dois être vieux.

à mon père

A la vie, a la mort

Ce jour là, au pied de ta tombe
je devrais me battre, pour que moi, je ne tombe.

Surtout ne pas m’agenouiller au dessus de ton corps.
Surtout ne pas pleurer toutes les larmes de mon coeur.
Tout tes amis autour de toi me le dirais
ce n’est vraiment pas ce que tu voudrais.

Pourtant, je le sais déjà
je reviendrais sur mes pas.
Devant la pierre qui porte ton nom
je m’écroulerais, que tu le veuilles ou non.

Le temps à beau être mon allié
il ne m’aidera pas à t’oublier.

Je te maudirais pour m’avoir appris
la douleur de perdre un ami.
Je t’envierais d’avoir enfin trouvé la sérénité
cette paix que j’aurais tant voulus te donner.
Je te reprocherais de m’avoir fait croire
que le vie est plein d’espoir.
Je te remercierais surtout, de m’avoir fait découvrir
ce que la vie à de mieux, à offrir.

Heureusement, je pourrais diluer mon chagrin
simplement en regardant sur ton chemin.
Ton parcours a laissé des traces
sur beaucoup de chemin éparses.
Chaque personnes que tu as connus
même ceux qui se sont perdues
garderont au fond de leurs mémoires
les moments partagés de ton histoire.
Lieu privilégié pour se réfugier.
Et surtout, se rassurer.
Tu as existé.

Ne pas arriver à exprimer
le plaisir d’avoir pus te rencontrer
Sera le prix que j’aurais à payer
de t’avoir laissé, aussi facilement, t’en aller.

Ta présence me hantera toujours
tout au long de ma vie de tout les jours

La mort n’est rien d’autre qu’un début.
Le début d’une vie ou tu n’est plus là.
Je sais qu’on ne se reverra plus.
Il ne restera que nous, ici bas.

Combien de fois te l’ai-je dit ?
Jamais assez, à mon avis.
Ce que tu as partagé avec moi
je ne l’oublierais pas.

Je me souviendrais
de ce que tu as été.
Et j’aurais aussi voulu me souvenir
de ce qu’on aurais pu devenir.

Une fois le coeur touché
il restera à jamais marqué
car il ne peut se cicatriser
sans risquer de s’arrêter.

Le choix, je l’ai déjà fait.
Je dois vivre sans toi.
Et pourtant, tu sera toujours en moi.

Le bonheur que tu m’a donné
à jamais, mon âme, l’a conservé
jusqu’à ma mort, tu seras en vie…

A ma mère

Human ISO-OSI model of data communication

The ISO-OSI model of data communication in a more understandable, human interpretation:

Layer 7: Application.
A man or a woman wants to meet a partner.
For the second important reason for being: Sex.

Layer 6: Presentation.
They want to present good. He is dressed nicely in a suit and is shaved. She is wearing a white blouse, tight skirt and hight heels.

Layer 5: Session.
They go to a bar which is known that you can met people there with the same application as you.
They start to chat about the weather, the sign of the zodiac, cars, vacations and more…

Layer 4: Transport.
It is getting late, the bar closes.
He asks her: Can I accompany you home?
She says: Yes.
Now comes the question of transportation. They decide to take the public services: Underground and Bus.

Layer 3: Network.
They have to change twice the metro and then finally take the Bus.

Layer 2: Link.
They arrive at her place.
She asks: Will you come up for a cup of coffee or a drink ?
Of course, he will!

Layer 1: Physical.

End of the ‘To better understand the ISO-OSI model’

Copyright H. Aemmerli, Zürich, 15. 8.2014.

Mauvaise question

« Quel est le sens de la vie » est une question sans valeur, la réponse est évidente et simple, la vie n’a aucun sens. La question « Quel est le sens à sa vie » est beaucoup plus pertinente…

Alan Hope

Question interdite

La différence entre un croyant et un non croyant n’est pas si grande que cela, le croyant accepte l’existence d’un Dieu créateur sans se poser de question, le non-croyant se demande qui a créé Dieu ?

L’un observe et analyse, l’autre ferme les yeux…

Alan Hope

La « singularité humaine »

L’être humain est seul responsable de ses malheurs, que ce soit des problèmes environementaux ou plus philosophiques. Le principe de l’évolution naturelle sur notre planète, à amener l’être humain à développer une conscience de soi ainsi que du reste du monde.

La possibilité qu’a l’humain de se poser la question sur sa propre existence, à poser la question sur l’origine de l’univers lui-même, est la source de tout nos ennuis psychiques et métaphysiques. L’acte de penser est donc à lui seul, le responsable de tout nos malheurs. La conclusion semble triviale, si les dinosaures n’avaient pas disparus, l’humain n’existerait pas, et donc aucune question sur son origine, ou sur l’origine de l’univers, ne serait formulé dans un language quelconque.

La théorie de la relativité, tel que décrite par Einstein, explique que des trous noirs doivent exister dans notre univers, ces trous noirs sont aussi appelés « singularités ». Les trous noirs existent car nos théories rendent leurs présences obligatoires, mais sans autre but que d’appliquer les lois imposées.  Les concepts de physiques actuelles s’écroulent dans les trous noir qui deviennent des anomalies dans la continuité de l’univers. La « conscience » développé par l’être humain, pourrait être du même genre. La théorie de l’évolution des espèces explique que  les animaux doivent développer une « conscience » avec le temps, mais sans aucun autre but que de suivre les chemins imposés par la chimie organique.

L’être humain peut donc être considéré comme une « singularité », un état nécessaire dans l’évolution de la vie, mais avec comme seul but de suivre les lois imposées par la nature. L’être humain est une anomalie obligatoire dictée par les lois physiques et chimiques.

Alan Hope

Les nombres illégaux

Le concept est simple…

Une société développe une console de jeux vidéos. Pour faire tourner les logiciels dessus, il faut crypter les jeux avec une clé. Le concepteur de la console a utilisé le nombre 1984 comme clé de cryptage. Un groupe d’informaticiens à trouvé la clé et ont pus faire tourner des logiciels maisons sur la console. Tout le monde est content, sauf le constructeur. Toute la communauté internet est au courant de la clé 1984, sur tout les blog on peut lire ce chiffre. C’est une révolution, le consommateur peut enfin utiliser la console pour faire pleins d’autres choses…

…mais voilà, le constructeur porte plainte, il veux que le chiffre 1984 soit retiré sur toute la surface de la toile, car le chiffre 1984 leurs appartient…

Un jeune homme qui est né en 1984 doit retirer sa date de naissance de son profil facebook. « Je n’ai pas le droit d’afficher ma date de naissance, car le chiffre appartient à une société », écrit-il sur son blog.

Toutes les copies de la nouvelle de Georges Orwell « 1984 », doivent être retirées sur demande du constructeur de la console.

Le chiffre 1984 est une propriété privée…

Alan Hope

L’illusion du choix

Lorsque on se retrouve devant un choix, l’être humain est persuadé de posséder « le libre arbitre » pour motiver son choix. En analysant logiquement la situation on se rend vite compte, que ce n’est malheureusement qu’une illusion. En effet, une fois le choix effectué, comment peut-on prouver que l’on « aurait pus » prendre un autre chemin ?

En fait, dans la réalité actuelle reconnu par les scientifiques, il est impossible de prouver qu’un autre choix ait été possible. Le seul moyen de le prouver est de remonter dans le temps, juste avant de faire le premier choix, et prendre toutes autres possibilités. Hors il est admis que de voyager dans le temps n’est pas physiquement possible sans conséquences majeures (histoires et ligne du temps alternatives).

Nous sommes donc obligé de conclure que n’importe quel choix que nous faisons dans cette vie, est unique, définitif et surtout pré-déterminé car il est tout simplement impossible de prouver qu’on aurait pu choisir autrement…

Le choix n’est qu’une illusion.

Alan Hope

Prise de positions sans contraintes